Au cours des années les prix ont variés. L'IPC (Index des prix à la consommation) permet d'observer les différences de valeur du CHF.
Avec l’essor du tourisme en Suisse à la fin du XIXe siècle, va se créer en 1885 la « Société pour le Développement de Lausanne » qui, entre autres activités – fera construire quatre années plus tard sur une concession accordée par la Ville, - propriétaire des lieux depuis quatre siècles - le petit lac artificiel de Sauvabelin pour les adeptes du patinage sur glace – sport alors très en vogue à l’époque – ainsi qu’un pavillon qui deviendra plus tard le Restaurant, puis l’Auberge du Lac de Sauvabelin. Les premières sociétés de développement ont vu le jour il y a plus de cent ans avec le développement industriel de notre ville. Elles servaient déjà depuis leur origine à faire le lien entre les habitants et les autorités.
Activités de l'USDL:
L’USDL, entre autres, a été le maître d’œuvre de la Tour de Sauvabelin ouverte au public en 2003. Celle-ci a pu voir le jour grâce à la prospection entreprise pour réunir des fonds privés et publics (dons, achat de marches, de lames ou de balustres) provenant de particuliers, d’associations ou de communes, avec une participation importante de la Ville de Lausanne dans le cadre du développement durable, et du canton par le Fonds d’équipement. La Tour de Sauvabelin a été remise officiellement à la Ville de Lausanne le 3 décembre 2002 tel que prévu conventionnellement. Aujourd’hui plus de 330'000 visiteurs ont gravi ses marches pour admirer à 360° au-dessus de la cime des arbres une vue panoramique sur Lausanne et le Léman, les Alpes, l’arrière pays et le Jura.
Buts de l'USDL:
Lien entre les habitants et les autorités de la Ville de Lausanne et du canton, l’USDL collabore étroitement et suit de près tous les dossiers, chantiers et grands projets conduits par la Ville de Lausanne et le canton dont l’impact est important, tels la fiscalité écologique, le M2, Quartiers 21, Tridel, le réseau TL, l’Opéra de Lausanne, le Musée des Beaux-Arts, le City-Management, Métamorphoses, etc., tout en en veillant au maintien de la qualité de vie de ses habitants.
Historique :
A la fin de l’année 1984, alors que les habitants du quartier tentaient d’intervenir sur un projet urbanistique, la Municipalité refusa de considérer le comité en place comme un partenaire reconnu. En effet, seules les Sociétés de développement étaient ses partenaires obligés, de par l’acceptation par le Conseil communal, à la fin des années 70, des conclusions d’un préavis ad hoc. Devant cette situation de non reconnaissance la Société de développement de Praz-Séchaud – Boveresses fut rapidement créée au printemps 1985, les statuts adoptés, son existence notifiée, son journal «le canard des Boveresses» édité et distribué tous ménages. La Municipalité, bonne joueuse, pris notre avis sur les projets concernant notre quartier. Certaines subventions furent augmentées (Centre de Loisirs), certains projets urbanistiques furent corrigés, évitant les immeubles «barre» et «tour»; des espaces verts furent longtemps sauvegardés. La zone sportive fut aménagée, et les taxis condescendirent enfin à nous gratifier du même tarif que les autres Lausannois. Quelques associations étaient représentées à son comité: Maison des Boveresses (AMB), Centre de rencontre œcuménique (CROG), Sport Pour Tous (ASPT), Halte-Jeux Rataboum (APEB). Au fil des années d’autres associations ont demandé leur affiliation : Quartier Libre, Arc-Echange, FCBoveresses.
Activité et buts:
Une association à but non lucratif, fondée en 1985, indépendante politiquement et confessionnellement. Représenter et défendre les intérêts du quartier, de ses habitants et groupements, sur les plans culturel, social et de l’aménagement. Promouvoir la qualité de vie et la bonne cohabitation dans le quartier. Un comité, formé d’un représentant de toutes les associations du quartier et de membres individuels supervise les projets en cours et permet de faire circuler l’information. Le bureau s’occupe plus particulièrement de l’administration, ainsi que de l’édition du Canard, le journal de quartier, qui paraît quatre fois l’an. Des habitants participent à diverses actions. La SD est membre de l’Union des Sociétés de développement de Lausanne, relais auprès de la municipalité. Au gré des projets, des coopérations s’établissent avec les association
Historique :
La Société de développement des Quartiers Sous-Gare et Cour a été fondée en 1893. C’est lors de l’Assemblée générale de mars 2007 que son nouveau nom « ASSOCIATION SOUS-GARE » a été voté à l’unanimité. L’Association Sous-Gare est composée d’une équipe de bénévoles (le Comité de l’association) qui défend les intérêts généraux des quartiers Sous-Gare et favorise tout ce qui peut contribuer à leur développement et à leur qualité de vie.
Activité :
L’Association Sous-Gare est à l’écoute de ceux qui habitent et travaillent dans son secteur. Elle est attentive à tout ce qui s’y fait et elle s’efforce de collaborer avec les divers organismes et associations de quartiers. Elle organise également des contacts avec les autorités municipales, des séances d’information, des débats, des séances de comité, une assemblée générale par année, des rencontres, le VIDE-GRENIER à la place de Milan, le BAL SOUS-GARE, des fêtes de quartier et édite un bulletin nommé KYCETOU réservé à ses membres.
Buts :
L’ASG a pour but de défendre les intérêts généraux de la circonscription Sous-Gare, de favoriser l’animation de ses quartiers et de tout ce qui peut contribuer à leur développement. L’ASG est indépendante et neutre en matière politique et religieuse
Historique :
Création en 1899 sous le nom de Société de développement du Tunnel, puis transformation en Société de développement du Centre en 1904.
Activité et buts:
Défense des intérêts de ses membres Prise de position en relation avec les transports ou l’urbanisme du quartier Organisation de conférences – débats Relations avec les autorités
Historique :
La Société de Développement de Chailly-Béthusy a été fondée en 1892 et est également membre de l’Union des Sociétés de Développement de Lausanne « USDL ». Elle dispose d’un local équipé, un ancien pavillon de chasse situé dans le magnifique parc de la Gottetaz, où elle tient ses séances et qu’elle loue à ses membres à l’occasion de fêtes de famille, telles des goûters d’anniversaire, etc.
Activité :
La SDCB est un organisme reconnu par les autorités qui la consultent pour recueillir son avis lorsqu’une décision engageant l’avenir du quartier et de ses habitants doit être prise. Elle invite également les commerçants au sein de son comité en les associant aux manifestations qu’elle organise, par exemple la fête à Chailly ou la sortie annuelle de ses membres, entre autres.
Buts :
La SDCB a pour but de promouvoir un développement harmonieux du quartier tout en préservant la qualité de vie de ses habitants. A ce jour, ces derniers sont plus de 10'000 et on peut considérer qu’ils représentent la 8ème ville du canton de Vaud. La SDCB agit en tant que véritable intermédiaire entre les habitants du quartier et les autorités communales. De par son intervention, elle donne plus de poids aux requêtes formulées entre autres : lors de mises à l’enquête publique pour résoudre des problèmes de parcage pour la création de passages pour piétons De plus, la SDCB intervient directement auprès de la Municipalité lorsque le Conseil Communal traite de sujets touchant à la vie du quartier, voire à l’ensemble de la ville. Si vous vous sentez concerné(e) par la vie de votre quartier et que vous désirez y participer activement, alors n’hésitez pas et inscrivez-vous auprès de la SDCB en contactant M. Luis Oliveira qui vous donnera tous les renseignements requis.
Historique :
Fondée en 1971, la Société de Développement de Lausanne-Vernand a pour but de défendre les intérêts généraux, culturels et esthétiques, intellectuels et moraux de la circonscription des Vernand et des abords. Les 541 habitants de Lausanne-Vernand habitent, au sud, dans la zone du Taulard, soit dans les zones du Bois-Genoud, de la Coffette, du Boulard et de la Pétause. Au Nord de l’enclave lausannoise de Vernand se trouve le secteur des Crottes (rte de la Blécherette). Il y a par ailleurs quelques habitants dans le secteur de Bel-Air (ouest) à Vernand-Dessous, sur Vernand Dessus et à Camarès. Quelques industries, des magasins, un pépiniériste, une institutions et un atelier pour personnes handicapées sont situées dans la zone de Bel-Air et Camarès. La zone est desservie par le LEB avec deux stations à Bel-Air et Camarès.
Activité et buts :
Selon statuts
Historique : lien vers le site sdmb
La SDMB a été fondée le 23 novembre 1895. Elle a longtemps fait équipe avec l’Association des commerçants de Marterey-Rue Enning. Malheureusement cette dernière a cessé d’exister. Actuellement, les animations sont faites par la SDMB. Toutefois, quelques commerçants, à titre individuel, nous donnent leur appui, ne serait-ce qu’en étant membre de la SDMB. Celle-ci a néanmoins poursuivi son chemin et a marqué notamment son 50e puis sont 100e anniversaire.
Activité :
La SDMB a organisé des fêtes de quartier et a créé le journal « Le Coutzet » dont le premier numéro a été publié en septembre 1981. Cette publication paraît deux fois par année et est distribué non seulement aux membres de la SDMB mais également « tous ménages ». Les articles fournis par les habitants sont volontiers acceptés. C’est le Comité qui assume la responsabilité du journal « Le Coutzet ». Pendant bien des années, une fête annuelle « des géraniums » était organisée avec la Société des Horticulteurs. Malheureusement la création des « garden centers » d’une part et le développement des grandes surfaces avec des rayons « plantes et fleurs » d’autre part, ont contraint les organisateurs de notre Société à renoncer à cette fête. En principe, chaque année des fêtes du quartier sont organisées soit au printemps, soit à l’automne. De plus, depuis plusieurs années, la SDMB accueille le Père Noël et son âne devant la fontaine du Coutzet située à l’angle de la rue Marterey et de la rue Ste-Beuve. Des friandises sont distribuées aux enfants tandis que du vin chaud est offert aux adultes. La SDMB est partenaire de l’Union des Sociétés de Développement de Lausanne (USDL). A ce titre, elle participe aux rencontres organisées par la Municipalité. Par exemple, pendant la durée des travaux de construction du métro M2, de nombreuses séances d’information ont eu lieu qui ont été très appréciées par la SDMB.
Buts :
La SDMB est le principal lien entre la population demeurant dans le quartier Marterey-Bugnon et environs et les autorités lausannoises. La SDMB agit pour défendre les intérêts de ce grand quartier et contribue à améliorer la vie de tous les jours. La SDMB est à l’écoute des habitants de son secteur et prête à débattre de leurs propositions.
Historique :
La Société de développement du Nord (SDN) a été fondée en 1881. Elle portait alors le nom « Amis de la Pontaise ». Elle est la plus ancienne et la plus importante de la ville de Lausanne. Au cours de son existence, la SDN a eu à cœur de défendre les intérêts et la qualité de vie des habitants de sa circonscription. Elle a combattu des projets qui lui semblaient peu compatibles avec la vie de son quartier. De nombreuses manifestations se déroulent sous son égide, notamment un repas-saucisse en automne et la célébration de la Fête nationale du 1er Août. La SDN est présente lors des manifestations importantes de notre Ville. Elle a à cœur de transmettre l’opinion de habitants du Nord aux autorités communales dans de nombreux domaines. Toujours, elle fut le reflet de l’opinion publique. Elle continue à montrer une vitalité très appréciée des habitants et poursuit ses actions dans l’optique du bien commun.
Activité et buts:
Selon l’art. 2 de ses statuts, la SDN a pour but de défendre les intérêts généraux de la circonscription délimitée par l’Union des Sociétés de Développement de Lausanne (Pontaise, Bellevaux, Rouvraie, Borde, Valentin, Beaulieu, Bergières, Grey, Boisy, Pierrefleur, Bois-Gentil, Plaines-du-Loup, Gratapaille et Vinet). Elle s’occupe d’une manière générale de tout ce qui intéresse ces quartiers, notamment en matière d’urbanisme, de circulation et de transports en commun. Elle encourage et organise les manifestations propres à développer les quartiers susmentionnés, à instruire ou récréer leurs habitants.
Historique :
La Société de Développement de l’Est a été créée en 1899 ; elle s’appelait initialement « Société de Développement de l’Avenue de Rumine et des Mousquines ». Elle faisait suite aux inquiétudes éprouvées par les habitants face aux aspects négatifs que prenait l’extension de la ville. Située dans un quartier résidentiel, l’action de la société a toujours visé à sauvegarder son esthétique. A ce propos, il est assez significatif de relever que sur les présidents que la société a connus, trois étaient architectes. La société est intervenue avec succès pour la sauvegarde – entre autres – du parc de l’Eglantine, de la promenade J.-J. Mercier et de la maison de Villamont. Elle est l’instigratrice de la mise en place de la ligne de bus N° 12 et a soutenu (avec succès) la pétition pour la circulation du bus N° 12 le dimanche et le soir. Par contre, la pétition et les divers entretiens pour le maintien de la poste des Mousquines n’ont pas abouti favorablement.
Activité et buts:
Par la suite, la SDQE a étendu son territoire selon délimitation des sociétés de développement officielle de la ville de Lausanne, depuis à l’ouest les avenues Juste-Olivier et Villamont, au nord les avenues Mon-Repos/Secrétan, ch. du Levant (compris), au sud et à l’est par le chemin du Levant jusqu’à Pully. La Société de Développement du Quartier de l’Est (SDQE) est l’une des 14 sociétés de développement de quartiers lausannois qui ont pour mission de s’occuper, d’une manière générale, de tout ce qui intéresse leur quartier, notamment en matière d’urbanisme, de circulation et de transport en commun et de sécurité. Elles sont reconnues comme interlocutrices privilégiées par la Municipalité qui les consulte pour leur présenter les plans à court et moyen termes touchant leur quartier. Avec la SDQE, les quartiers de l’est lausannois disposent ainsi d’un relais pour présenter aux autorités communales, avec davantage de poids qu’un simple particulier, toute suggestion ou demande concernant ce quartier. Le poids et les moyens d’action de la société, politiquement et confessionnellement neutre, et ouverte aux étrangers, sont évidemment proportionnels au nombre de ses membres. La SDQE collabore étroitement avec les autorités et suit de près tous les dossiers, chantiers et grands projets conduits par la ville de Lausanne. Reconnue comme interlocuteur auprès de la Municipalité, elle est le principal lien entre les habitants et les autorités communales. La société est à l’écoute des habitants et prête à débattre de leurs propositions. Elle contribue à améliorer la vie de tous les jours et agit pour défendre les intérêts du quartier.
Historique :
La Société de développement du Nord (SDN) a été fondée en 1881. Elle portait alors le nom « Amis de la Pontaise ». Elle est la plus ancienne et la plus importante de la ville de Lausanne. Au cours de son existence, la SDN a eu à cœur de défendre les intérêts et la qualité de vie des habitants de sa circonscription. Elle a combattu des projets qui lui semblaient peu compatibles avec la vie de son quartier. De nombreuses manifestations se déroulent sous son égide, notamment un repas-saucisse en automne et la célébration de la Fête nationale du 1er Août. La SDN est présente lors des manifestations importantes de notre Ville. Elle a à cœur de transmettre l’opinion de habitants du Nord aux autorités communales dans de nombreux domaines. Toujours, elle fut le reflet de l’opinion publique. Elle continue à montrer une vitalité très appréciée des habitants et poursuit ses actions dans l’optique du bien commun.
Activité et buts:
Selon l’art. 2 de ses statuts, la SDN a pour but de défendre les intérêts généraux de la circonscription délimitée par l’Union des Sociétés de Développement de Lausanne (Pontaise, Bellevaux, Rouvraie, Borde, Valentin, Beaulieu, Bergières, Grey, Boisy, Pierrefleur, Bois-Gentil, Plaines-du-Loup, Gratapaille et Vinet). Elle s’occupe d’une manière générale de tout ce qui intéresse ces quartiers, notamment en matière d’urbanisme, de circulation et de transports en commun. Elle encourage et organise les manifestations propres à développer les quartiers susmentionnés, à instruire ou récréer leurs habitants.
Historique :
La Société de développement du sud-ouest Lausanne (SDSO) a été créée le 8 février 1945 sous la présidence de M. Henri Jaton. Au nombre des réalisations à l’actif de la société il faut relever en particulier: Le sauvetage de la Vallée de la jeunesse actuelle (qui devait être aménagée en une artère Sud-Nord rejoignant Malley et le pont du Galicien, avec une intersection formée par le prolongement de l’avenue de Cour au-delà du Centre funéraire de Montoie). Ainsi pu se tenir - après création de la Roseraie en 1970 - la Quinzaine de la Rose. L'inauguration du TSOL en 1991 sous la présidence de M. Jacques Vulliamy. Le centenaire de l’avenue de Cour le 3 juillet 1999. L'inauguration de l’avenue de Cour rénovée le 24 mai 2008. La pose d’une plaquette historique de l’avenue de Cour le 3 octobre 2009.
Activité, buts :
Notre association a pour but l’intérêt général de la circonscription du sud-ouest de Lausanne, en particulier par son développement économique, son urbanisme, son aménagement au sens du droit public et l’animation de ses quartiers. La circonscription est délimitée comme il suit : au Nord : les voies ferrées CFF; à l’Est : les chemins du Reposoir (dès le rond point du Mont d’Or) et Fontenay, l’avenue de Cour depuis le carrefour Milan-Cour-Bains, l’avenue des Bains (partie nord, côté ouest), les chemins de Primerose et des Plaines, puis Emile Jaques Dalcroze en direction du lac; à l’Ouest : la limite de la Commune de Lausanne; au Sud : le Lac.
Historique : La Société de Développement de la Sallaz est fondée le 23 octobre 1895, quatrième de la Ville de Lausanne, La Sallaz est un hameau isolé, entre Flon et Vuachère, c’est déjà un carrefour avec quelques maisons, Vennes comporte plusieurs fermes disséminées. Les premières assemblées de la société sont consacrées aux « ruclons » qui font l’objet de la première pétition du quartier, après vint la demande de l’éclairage nocturne, d’abord à la « néoline » puis à l’électricité avec la construction d’une usine à Pierre de Plan en 1900. Les moyens de transport sont aussi une préoccupation, le tram arrive d’abord jusqu’au Calvaire, puis il arrive à La Sallaz en 1902.
Activité : Actuellement, la société est fortement impliquée dans la réalisation de profondes transformations de la zone centrale du quartier, la circulation, devenue très importante par la proximité de la sortie d’autoroute est aussi une préoccupation, la Ville de Lausanne souhaite construire une route de contournement afin de libérer une place destinée aux transports publics et aux piétons. Un forum café réunit une fois par mois les membres pour actualiser les informations sur le quartier et écouter les doléances des habitants.
Buts : La société a pour but de défendre les intérêts généraux, notamment urbanistiques culturels et esthétiques du quartier de La Sallaz-Vennes. Elle s’occupe, d’une manière générale, de tout ce qui intéresse le quartier, notamment en matière de circulation et de transports en commun. Elle tend à sauvegarder e patrimoine du quartier. Elle peut encourager et soutenir toute action propre à développer harmonieusement le quartier, à instruire ou à récréer ses habitants et ses membres. Le périmètre du quartier dans lequel agit la société est délimité selon un plan établi par l’Union des Sociétés de Développement de Lausanne, avec toutes les modifications que celle-ci pourrait lui apporter. La société ne s’engage pas dans les questions religieuses et ne se rallie à aucun parti politique.
Historique :
La Société de développement du sud-ouest Lausanne (SDSO) a été créée le 8 février 1945 sous la présidence de M. Henri Jaton. Au nombre des réalisations à l’actif de la société il faut relever en particulier: Le sauvetage de la Vallée de la jeunesse actuelle (qui devait être aménagée en une artère Sud-Nord rejoignant Malley et le pont du Galicien, avec une intersection formée par le prolongement de l’avenue de Cour au-delà du Centre funéraire de Montoie). Ainsi pu se tenir - après création de la Roseraie en 1970 - la Quinzaine de la Rose. L'inauguration du TSOL en 1991 sous la présidence de M. Jacques Vulliamy. Le centenaire de l’avenue de Cour le 3 juillet 1999. L'inauguration de l’avenue de Cour rénovée le 24 mai 2008. La pose d’une plaquette historique de l’avenue de Cour le 3 octobre 2009.
Activité, buts :
Notre association a pour but l’intérêt général de la circonscription du sud-ouest de Lausanne, en particulier par son développement économique, son urbanisme, son aménagement au sens du droit public et l’animation de ses quartiers. La circonscription est délimitée comme il suit : au Nord : les voies ferrées CFF; à l’Est : les chemins du Reposoir (dès le rond point du Mont d’Or) et Fontenay, l’avenue de Cour depuis le carrefour Milan-Cour-Bains, l’avenue des Bains (partie nord, côté ouest), les chemins de Primerose et des Plaines, puis Emile Jaques Dalcroze en direction du lac; à l’Ouest : la limite de la Commune de Lausanne; au Sud : le Lac.
L’association des Amis de la Cité est la société de développement du quartier de la Cité.
Fondée en 1897, elle défend le patrimoine de la Cité, encourage les interactions entre les habitants du quartier, aide au développement économique et soutien l’organisation d’activités sociales et culturelles sur le territoire de la Cité. Devenez membre !
Nos activités…
- le patrimoine
- le quartier
- le développement économique
- les événements
Défendre la Cité… … c'est respecter son patrimoine
Ce n’est qu’avec vous que les Amis de la Cité pourront défendre, au travers d’actions collectives, un quartier vivant dans lequel aussi bien les habitants que les passants et les touristes se sentent bien.
Préservons notre patrimoine et continuons à donner vie à ce quartier pour que, demain, nous puissions nous asseoir ensemble sur un banc public ou à la terrasse ombragée d’un restaurant.
… c'est servir notre ville De sa partie historique au Bois de Sauvabelin, poumon vert de notre ville, en passant par la Riponne, le Tunnel, la Barre, le Vallon et le Signal, notre quartier offre tout un éventail de richesses conjuguant beautés naturelles et architecturales : il est à la fois le coeur et l’emblème de Lausanne.
… c'est soutenir la culture
La Cité est synonyme de culture. Avec ses monuments, ses musées, ses théâtres pour petits et grands, l’accueil de concerts et de festivals, la Cité est le quartier culturel par excellence.
Quel est le lien entre les associations comme le Curling Lausanne Olympique, la Nana ou encore Porsche Ouchy Passion ? La réponse réside au sud de la ville de Lausanne: OUCHY. Il tient à cœur à la SDIO de regrouper le plus grand nombre d’acteur·trice·s dans son quartier lacustre: une visibilité accrue et un développement potentiel pour toutes et tous. Les associations fédèrent et rassemblent les passionné·e·s de tous bords, chacune dans son domaine de prédilection. Le point convergent ? La SDIO. Qu’on se le dise. Rejoignez-nous !
Cotisation annuelle: 150 CHF
L’Union des Sociétés Lausannoises (U.S.L) est une association faîtière regroupant les associations à but non lucratif ayant leur siège à Lausanne, une part de leurs intérêts ou de leur identité liés à la commune de Lausanne.
Lausanne Tourisme a été fondé en 1887 pour promouvoir la ville de Lausanne, en Suisse et à l’étranger et offrir de bonnes conditions d’accueil aux visiteurs avec le soutien et la collaboration des autorités lausannoises et ses partenaires touristiques, en particulier les hôteliers.
L’association a pour but général de favoriser le développement du tourisme et de le promouvoir en Suisse et à l’étranger en assumant les tâches fixées dans la législation sur le tourisme.
Elle établit une stratégie touristique qui s’inscrit dans la politique de marketing urbain visant à favoriser le rayonnement économique, culturel et social de Lausanne dans le respect du développement durable.